Puisque nous étions d’humeur à causer chantier, et que je vous avais laissé en plan après vous avoir parlé géomètre, terrassier, drainage, fondations, soubassement, dallage et isolation, on peut maintenant reprendre le fil de notre gros œuvre, et continuer à bâtir ce qui deviendra votre baraque de rêve.
On assure sur les murs et on ne lésine pas sur la couverture.
Here we are again avec votre maçon, alors on attaque le gros œuvre par les cornes, à savoir la pose des fondations. Dans la joie et la maitrise de rigueur, on assure la construction des murs extérieurs qui feront place aux portes et aux fenêtres, et on fait pareil pour les parois intérieures (qu’on appelle de « refend » si déjà on est pro…), qui constitueront les murs porteurs de cette sacrée maison. On passe ensuite à la couverture, en commençant par faire construire puis poser une solide charpente (si déjà on travaille avec un bon charpentier, on n’hésite pas à lui faire dessiner les escaliers en prime), et en enchainant sur la pose de tuiles, d’ardoises et de gouttières (idem pour le couvreur, s’il assure, on lui confie en bonus l’isolation du toit).
Menuiserie OK, étanchéité assurée, revêtement extérieur optimisé.
L’heure étant à la pose des portes et des fenêtres extérieures, on choisi un menuisier qui a le chic de bien savoir y faire avec l’alu, le pvc et le bois, et qui saura venir double ou triple-vitrer vite fait bien fait. Reste à s’assurer que les travaux de couverture et d’étanchéité sont au top, quitte à rallonger un peu le délai. Et nous y voilà : la maison est hors, d’air, hors d’eau, et prête à être revêtue (extérieurement) de pierre, de bois, de crépi ou de tout autre matériau envisageable pour satisfaire vos envies.
(Et là, vu que les histoires de déco ça prend toujours des plombes, je remets le chantier sur pause et je vous recontacte bientôt pour l’isolation, le cloisonnement, les équipements et revêtements intérieurs, et les finitions).