Aujourd’hui, j’écris (moi, Freddy) pour (encore et toujours) vous parler de notre planète Terre. Et j’ai réussi à rédiger cet article grâce à l’aide de mon ami Barack qui m’a donné de précieuses indications. Le développement durable et la préservation de notre planète monopolisent l’actualité depuis de nombreuses années.
La planète bleue, noyau de nos soucis
Pour cela, tous les acteurs se mobilisent pour améliorer les conditions de production et l’impact sur la Terre. C’est dans cette optique que les vitrages ont une importance capitale dans le domaine du bâtiment. Certes, ils ont des qualités phoniques et thermiques incontournables, mais ils ont désormais également de nouvelles missions telles que d’améliorer le confort visuel, gérer la lumière naturelle ou encore réchauffer les locaux pour réduire les apports thermiques des chauffages.
Les verres à couches
C’est en visant à réduire au maximum les émissions que les fabricants de vitrages pour fenêtres se sont vus dans l’obligation de continuer à chercher encore et toujours plus loin. Selon l’orientation du bâtiment et l’activité qui y sera exercée que l’on peut définir quels vitrages installer. C’est ainsi que les verres à couche sont nés : ils émettent beaucoup moins, ils contrôlent les apports solaires et bénéficient de fonctionnalités autonettoyantes. La déperdition d’énergie est nettement réduite grâce aux verres à couches, contrairement au double vitrage qui se contente de ne gérer les pertes uniquement engendrées par la conduction et la convection des rayons solaires.
Secret de fabricant
C’est donc en apposant une mince couche d’argent sur l’une des faces intérieures d’un double vitrage que le fabricant obtient un verre à couches, qui pourrait participer au sauvetage de la planète. C’est le contrôle solaire qui change complètement la donne, en ajoutant à cela la transparence, l’isolation phonique et thermique et la fonction autonettoyante.